Purgatoire
L’humain dans toute sa splendeur !
De la naissance à la mort, en passant par la Lorraine, « Purgatoire » réinterprète certaines des grandes obsessions philosophiques, depuis Socrate jusqu’aux Beatles, tout en tentant de faire rire le spectateur par l’évocation plus ou moins absurde de l’absurdité de notre quotidien.
Au cours d’une représentation de « Purgatoire », le spectateur, déjà secoué par ce rire incontrôlable que provoquent les grandes oeuvres contemporaines, qu’elles soient volontairement comiques ou non, aura l’opportunité de se voir répondre à l’une des deux plus grandes questions qui ait animé l’homme depuis la nuit des temps, à savoir :”Dieu existe-t-il?”. L’autre question étant : “Qu’est ce qui a deux nez, trois jambes et qui hurle en faisant plouf plouf?”, question à laquelle nous n’avons, à ce jour, aucun élément de réponse…
L’auteur tape là où ça fait mal, il nous propose un voyage d’une heure et quart dans le monde des côtés obscurs de l’Homme. Ses faces cachées : tout ce qu’on ne veut pas être mais qu’on est tous à un moment ou un autre, tout ce qu’on ne dit pas mais que l’on pense, tout ce qu’on prétend ne pas faire mais que l’on fait, tout ce que l’on affirme sans savoir.
Toujours sur un ton de comédie, Dominique Bréda nous propose des personnages plein de failles, terriblements humains et donc proches de nous.
Une pièce créée par le joyeux collectif qui présidait autrefois aux destinées du Café-Théâtre de la Toison d’Or.
Écriture et mise en scène Dominique Breda
Interprétation Jean-François Breuer, Catherine Decrolier, Thomas Demarez, Julie Duroisin et Odile Ramelot
Création lumières Juan José Borrego
Production Lato Sensu ASBL
Création 2009 – Saison 2009-2010
« Un humour décapant ! » – La Libre
« Sans doute l’une des meilleures pièces de l’auteur belge Dominique Bréda » – Métro
« On rit beaucoup grâce aux textes qui mettent en lumière les incohérences, les contradictions, les cynismes de l’âme humaine servis par le jeu parfait et tonique de cinq jeunes comédien.nes » – L’Écho
« La dizaine de scènes qu’expose Dominique Bréda, si elles ne sont pas toutes d’une originalité folle, sont à se pisser dessus tout simplement ! » – L’Avenir